Le défi 28 jours.
C’est le temps. Du défi 28 jours. Ce temps de l’année. Où l’on se fait inviter. À se questionner. À s’introspecter. À se priver. Un peu. C’est selon. Ce que nous sommes. Ce qui résonne. Pour nous. Autour de nous. Dans nos vies.
C’est ce temps de l’année. Où l’on nous invite à l’empathie. À vivre l’envie. À reconnaître la sensation du désir. Inassouvi. Ce temps de l’année où le routinier devient perceptible. Car il faut se l’avouer. Vient un temps où l’on n’est plus conscient. De toute la charge et des désagréments. Qui viennent avec le temps. Le facilement permanent. L’espace d’un temps. Conscients.
Pour qui?
Un défi! Pour qui? Pour moi. Pour toi. Pour lui. Pour tous. Ne serait-ce que pour saisir l’ampleur du normal. Dans une société où la consommation est normalisée. Banalisée. Catégorisée. Valorisée. Dans un monde où la consommation devient l’image de l’atteinte de la majorité. Dans un monde où consommer est une façon de décrocher. De se récompenser. D’une grosse journée. Des enfants survoltés. De la peine d’amour qui vient de frapper. De l’échec que l’on n’arrive pas à digérer. Ou de tous ces petits riens qui deviennent insupportables. À commencer par soi. Par ces moments où on n’en peut plus de vivre . À travers notre moi.
Pour quoi?
Pour tout. Et pour rien. Pour se mettre au défi. Pour grandir à travers l’envie. Pour sympathiser avec tous ceux qui y sont passés. Pour s’évaluer. Au travers ses dépendances. De toutes allégeances. Pour se rendre compte. Se libérer. Se délester. De ce qui au final ne peut que nous alourdir. Nous engourdir. Nous freiner. Nous limiter. À prendre notre envol. À se responsabiliser.
Pour saisir l’opportunité. De cet élan de société. Parce que la force du nombre ne peut être reniée. Parce que c’est inspirant de se sentir porté. Par le mouvement. Parce que c’est une occasion de faire communion. De se soutenir. De regarder vers l’avenir. De se redéfinir. De s’exprimer. Sans se retenir. Parce que la vie c’est bien plus que tout ce qu’un petit verre a à offrir.
Se souhaiter.
À travers ce défi, je me souhaite beaucoup. Je me souhaite de réaliser. La lourdeur. Et de la voir se dissiper. Je me souhaite des moments partager. Réellement. Avec mon chum. Et mes enfants. Je me souhaite de me réinventer. À travers la vie qui me chahute. Par moment. Car il faut y aller d’honnêteté. La Terre n’arrêtera pas de tourner! Je me souhaite de persévérer. D’économiser. De redessiner notre quotidien. Et d’y prendre plaisir. Rien de moins.
Et la fille qui vous écrit ça…et bien…elle ne boit presque pas. Facile vous direz. Peut-être. Mais à chacun ses combats. Du corps et de l’esprit. Du passé et de la vie qui se poursuit. À chacun ses raisons. Ses ambitions. Ses démons. Qui inévitablement teinteront sa vocation.
Et vous?
Et vous? Embarquerez-vous? Je vous invite à nous rejoindre. Sur Instagram. Pour partager. S’encourager. Se motiver. S’inspirer. Cheers!
